Unesco : la diplomatie d'Audrey Azoulay sous haute tension
Elue sur le fil en 2017 face au candidat Qatari Hamad al-Kuwari, la directrice générale de l'Unesco Audrey Azoulay peine à s'imposer Place de Fontenoy. Confrontée aux caisses vides de l'organisation onusienne, à l'héritage encombrant de sa prédécesseure Irina Bokova, l'ex-ministre de la culture traverse une zone de turbulences diplomatiques qui réduit ses marges de manoeuvre.